Que pourrait bien avoir à nous dire un condamné à mort à propos de l’amour ?

Un prisonnier nous conte l’histoire de son amour pour un détenu qui a été exécuté. Evoquant un amour impossible s’il en est, le monologue du survivant nous laisse entrevoir la douleur de perdre l’être aimé, tout autant que le bonheur de l’avoir connu.

Par le biais d’un texte en alexandrins (le vers classique par excellence), l’auteur-comédien-metteur en scène Jean Lett livre une réflexion et une poésie résolument modernes.

Tes yeux où me penchant afin de m’abreuver

J’ai vu tous les soleils approchant se mirer

Tes mains blanche douceur mes midis d’incendie

Tes deux mains ô ma Vie mon Univers pardi

Copyright : Jean Lett

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